Isolation des combles : opter pour la ouate de cellulose

La ouate en cellulose est un matériau très demandé en éco construction et cela de plus en plus. Elle permet, avec ce matériau tiré du recyclage de vieux journaux, de se passer de certains produits industriels qui se détériorent trop facilement au fur et à mesure des mouvements thermiques. Certains consommateurs se sont plaints d’odeurs désagréables liées à ces combles, mais les solutions ont déjà été trouvées avec l’enlèvement de certains composants.

Ces Phénomènes marginaux n’ont touché qu’une infime partie des clients, et les consommateurs ayant opté pour la ouate en cellulose pour l’isolation thermique des combles se disent satisfaits.

Isolant écologique

La ouate en cellulose est hautement recommandée par les entreprises spécialisées d’ITE, il s’agit d’une des meilleures isolations thermique des murs, mais également par les consommateurs, ravis de se passer de certains matériaux industriels très nocifs pour la santé. Puisqu’elle est fabriquée à partir d’environ 85 % de journaux recyclés, les 15 % restants étant un additif chimique sûr en termes de santé environnementale et un mélange de sel d’ammonium ignifugeant. C’est ces additifs qui sont parfois critiqués, mais ils permettent d’assurer la durabilité de la ouate et surtout augmentent sa résistance au feu. Ce n’est donc pas par ce qu’il y a des journaux recyclés dans les combles qu’il peut y avoir un départ de feu, au contraire. Aucun feu ne pourra provenir de la ouate et si un se disperse sur la ouate, elle ralentira sa propagation.

Le dernier plus, c’est le confort d’été apporté grâce à sa densité élevée.

Le prix de la ouate de cellulose

Son prix varie beaucoup suivant les régions et les entreprises, car ce produit est encore peu répandu, et les prix de pose n’ont toujours pas été étudiés en vue d’une stagnation et d’une harmonisation. On pourra ainsi trouver des tarifs allant du simple au double sans changement de matériau et avec les mêmes techniques. L’essentiel est de s’assurer de la bonne résistance thermique du produit, et de la présence de sel de bore.